Dark was the night au Théâtre les Célestins
“Pour que la voix des sans voix résonne dans nos théâtres », Emmanuel Meirieu emprunte à nouveau le beau chemin artistique et militant emprunté déjà avec « Les naufragés », « La fin de l’homme rouge » et « Mon traître ».
Ici il est question d’un homme et de tous les hommes et d’une histoire vraie.
Celle de la sonde spatiale Voyager 2 lancée par la NASA en 1977 avec un disque d’or fixé sur sa paroi extérieure.
Dans le disque envoyé à tout hasard aux extra-terrestres : des photographies de la terre, des salutations en 55 langues, des sons et des musiques.
Parmi celles-ci, une chanson du blues noir américain Blind Willie Johnson : « Dark was the night ».
Un artiste aveugle mort dans la misère à 44 ans qui reste aujourd’hui « là-haut » l »
l’ambassadeur de l’humanité.
Marielle Créac’h
Théâtre les Célestins
Du 31 janvier au 4 février à 20h